Elle est passée, la floraison du cerisier
Mais il reste
Un deux, trois pétales
Une poignée de jours que le vent emporte ;
Et le discret zinzulement d’une mésange.
Je suis venu trop tard, ou mon temps est-il fait.
Corneille hilare.
Les années ont donné une écorce puissante
Au tronc du cerisier
Et ses racines vont puiser dans la bouche d’un mort.