Nouveau jour, nouveau jour, dirait le refrain de la chanson oubliée.
Je n’ose regarder. Mais si : J’y suis !
Je savoure le temps rétréci, cette seconde,
Comme le coléoptère sa goutte d’eau.
Ciel bleu à portée de doigts,
Ciel bleu à portée de lèvres.
Alors peut-être – faudra-t-il assembler chaque seconde, chaque morceau chaque récit, d’un instant l’autre, d’un instant l’autre, comme une phrase qui coud.
Et s’en vêtir.
Nouveau jour, nouveau jour, dit la chanson.
Laisser un commentaire, une impression