Chaque fois que je prends le métro, 
je me rappelle ô combien j’ai la chance d’être joyeux  
mais, peut-être que tous ces gens autour de moi portent-ils des masques de fête ?
que les regards se concentrent à ne rien dévoiler de la fête ?   
qu’ils font mine de ne pas voir mon sourire, mes clins d’œil,
trouvant plein de prétextes — toux, rictus, écrire un message, rictus — oh oh 
finalement le métro est une grande fête 
et nous attendons l’arrivée de la Nuit 
pour nous dévêtir.