Une écriture qui dévore l’espace, en fait une pâte,
malléable
Une écriture qui transforme l’espace en soufflet 
Une écriture dont la portée tient de la farce 
Une écriture qui ne retranche rien, ni au silence ni au mystère 
Mais révèle d’oiseaux d’obscurité.
Une écriture qui me resitue ici 
Dans le monde des morts dont les vivants sont partie.