À quoi à quoi bon ?
Tout est là, derrière les mots.

Derrière les mots.
Faire varier le brûleur qui éclaire, certes
Mais tout est là.
Alors à quoi bon,
Tout est là.
Ça fait quand même un qui se pose
Ça n’éclaire pas le ciel.
Un qui se pose pour dire quoi :
Tout est là
Tout est là ? Tout est là.
C’est le cil brossé sur la note musicale : tout est là.

Comme une oreille derrière la paupière.

Mais il faudrait voir les yeux rouler sur l’asphalte,
les voir bondir et sauter, les yeux de verre.

Mais non.
Tout est là.