Bien, saluer la foule et la beauté,
Mais de quelle manière ?
Allons voir : je produis “l’état de grâce”…
Certes à présent il n’est plus rien à comprendre, et la beauté transmuée en mystère se tait. Nous sommes sauvés.
Mais ouvrons les yeux : et regardons la situation bien en face des trous
Et, à quoi faire, coiffeur, que dire ?
Construire des ponts, d’une rive à, d’une rive, l’autre ?
Se laisser amadouer une fois encore par l’étoffe d’une femme ?
Avoir la nostalgie des petits riens, – des vivants souvenirs ?
Et si tout ceci n’est plus que lettres, que lointain souvenir, enfouissons-les à nouveau et réarmons le silence.
Et finalement, remercier.